L’histoire est un vision romancée de la vie de Burton. Un roman fait comme un devoir scolaire aurait donnée cela, mais la il s’agit d’autre chose…..Le texte dénote d’une bonne connaissance de l’Orient. L’auteur a voyagé et nous transmets les impressions qu’on pu lui suggérer une biographie de Burton. L’auteur mêle ses impressions de voyages à l’histoire d’un personnage, si éloigné, dans un style qui peu sembler déroutant. Parfois on à l’impression de procédés cinématographiques et les images se heurtent, se brouillent, ce que justement provoque ce genre de voyages. Nous perdons tellement nos repères que la réalité surgit sans que nous puissions la situer dans l’habituel. Les personnages donnent leur version de l’histoire dans la version de l’auteur, comme les récits orientaux. Pour en savoir d’avantage sur le personnage principal, à lire chez le même éditeur : Un diable d’homme de Fawn Brodie. Vous constaterez que Francis Burton est très complexe, en porte à faux avec ses contemporains et leur pudibonderie, sans parler, d’une réputation sulfureuse qu’il avait probablement entretenue. D’ailleurs je me demande si l’on n’apprécie pas mieux ce livre après avoir lu la biographie de Burton. Le personnage semblait si étranger et incompréhensible au commun, qu’un roman qui s’en inspire est une tâche très très ardue. Exercice risqué, traduit de l’allemand en plus ….