Premier mois d’essai pour les éditions philaubooks : sur 23 livres environ 7 se vendent bien et génèrent des revenus. Phénomène curieux : les éditions qui vendaient uniquement une version papier se sont mis à sortir une version numérique quand nous avons publié la nôtre. Heureusement que les éditeurs n’ont rien compris et vendent un numérique le prix d’un livre de poche. Cet attachement à leur marge sur des livres du domaine public font qu’ils ne vendent quasiment rien ( ventes vérifiées avec KindleSpy ). Bien sur, on est loin des ventes Us pour ce type de produit et les ministères de la culture travaillent plus pour les éditeurs que pour les lecteurs qui ont peu de moyens. Ex. Fleur Pellerin n’a pas soutenu le projet d’une commission pour contrer le Copyfraud ( un éditeur met un droit sur un livre du domaine public de façon abusive) et la ministre suivante repris le flambeau en proposant une loi pour obliger à donner un Isbn à tout ces livres ; ce qui à été rejeté par les élus.
Ceci dit, il existe une société américaine qui propose de se positionner comme éditeur et vendre des Isbn « à la volée ». C’est amusant à chaque problème français, il y à une solution américaine et après ont s’étonne …